mercredi 24 mai 2006

Un pays, une identité.


Moi, je l'aime la France ! Je suis fier de dire que je croit en ce pays auquel j'appartient depuis ma naissance. Je croit en sa grandeure, en sa puissance, en sa beauté. Je croit en lui, tout simplement et je ne supporte pas que l'on puisse dire en toute impunité qu'on la "nique" sur un air de musique (que je trouve d'ailleurs de mauvaise qualité) et que ce message soit diffusé auprès des jeunes.
Je ne peux supporter d'entendre "la France est une salope, baise-la tant que tu peux !" et aux même de dire : "la nationalité française ne sert à rien, ce pays ne nous veut pas , ne nous accepte pas." Je voudrais alors leur dire que pour qu'un pays accepte un individu, il faut que l'individu en question accepte ce pays. Cela passe par un certain degrés d'acculturation. Aussi, l'acculturation ne se fera pas dans le sens de la dénaturation de l'histoire de France, avec toutes les traditions qu'elle comporte. L'adaptation est certe difficile mais nécéssaire à une bonne intégration.
Malheureusement, cette difficulté décourage certains qui préfèrent alors se réfugier dans des groupuscules minoritaires auxquels ils se racrochent, auxquels ils s'identifient. Trops vieille, trops vague, l'image, la symbolique même de patriotisme est démodée, critiquée, jugée et assimilé à de l'extremisme nationaliste.
Le sentiment national n'est pas forcément belliqueux. Sur le plan international, l'Europe et le traumatisme encore présent des guerres mondiales l'en empêche, et sur le plan national, il règlerait le prroblème des tensions entre quartiers, entre villes, entre classes sociales. Parce que la xénophobie évolue dans le sens de l'extension géographique (on avait peur de son voisin, puis des autres villages, puis des autres régions, puis des autres pays, puis, enfin, des autres continents), elle ne doit pas régresser.
La mixité sociale est une solution. En effet, il ne faut pas stigmatiser le problème, il ne faut pas continuer à entretenir les ghetto sous peine de revivre les évènements de novembre 2005. Une mauvaise disparité géographique des classes sociales, des nationalités d'origines, des orientations sexuelles (Quartier du Marais, Paris) entraîne forcément une identification au groupe localement majoritaire. Ces pesonnes se coupant petit à petit de la réalité.
Je prône donc le retour du sentiment national d'appartenance à la mère patrie, à Marianne !
VIVE LA FRANCE !

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